Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
O FEMININ LE BLOG DEDIE AUX FEMMES !!!
Archives
O FEMININ LE BLOG DEDIE AUX FEMMES !!!
21 mai 2007

Les endroits insolites où vous avez fait l’amour !

En avion, au cinéma, dans un ascenseur…, faire l’amour dans un endroit incongru est
un fantasme très répandu.
Par tendance exhibitionniste, pour l'excitation du danger ou l'envie de pimenter la relation, vous êtes nombreuses à avoir, au moins une fois, assouvi vos désirs en dehors du lit. 

Quels sont les lieux les plus sympas pour les jeux coquins ? Quelles précautions faut-il prendre ?
Retrouvez les témoignages de femmes qui ont osé faire l'amour dans un lieu public.

37stripDans les bois

Nathalie, 28 ans, graphiste à Montbéliard 
Un dimanche matin, j'ai proposé à mon mari d'aller faire un tour en forêt, histoire de respirer. Arrivés sur place, nous avons cherché des marrons, des cêpes... Mais au bout d'une demi-heure, je ne sais trop pourquoi, j'ai eu une envie subite du "cueilleur de champignons". Du coup, je lui ai fait part de mes intentions. Autant vous dire qu'il était surpris, mais il s'est vite laissé prendre au jeu.

C'est, accoudés à un chêne, que nous avons commencé les préliminaires. Puis, le grand show a continué sur un vieux tronc. Tellement vieux, qu'il a cédé sous nos ébats. Je crois que nous avons bien mis une heure à nous en remettre et à retrouver nos habits parsemés de-ci de-là.

Sur le chemin du retour, nous avons rencontré un couple de retraités qui nous ont demandé si la cueillette avait été bonne et si nous étions sûrs qu'il n'y avait pas de chasseurs dans les parages car ils avaient entendu un énorme bruit sourd... Comment leur dire que ce n'était autre que le vieil arbre qui avait cédé ? Je crois que c'est un des meilleurs souvenirs de nos ébats, peut-être parce que c'est là que nous avons conçu notre premier enfant !

Dans un téléphérique

Caroline, 33 ans, prof. des écoles à Nancy
Nous étions, mon copain et moi, en vacances aux sports d’hiver, à Flaine. Ce jour-là, il neigeait à gros flocons, et nous avions décidé d’aller skier malgré tout, pensant qu’il y aurait moins de monde sur les pistes, à raison.   

Nous devions prendre un téléphérique pour rejoindre la station. Arrivés aux cabines, nous avons pu constater que, pour une fois, il n’y avait presque personne. Quel luxe de monter dans une cabine en amoureux ! Le trajet durait 10 bonnes minutes.   

Mon ami a commencé à m’embrasser et à me faire part de ses pensées coquines. Très amoureuse, je n’ai pas résisté à ses avances. Et nous nous sommes retrouvés à faire l’amour dans la cabine, appuyés contre la paroi, comme en apesanteur. Imaginez-nous engoncés dans nos combinaisons de ski ! Je dois avouer que ce n’était pas très pratique. Mieux valait oublier les préliminaires ! Sans compter qu’il a fallu faire vite, pour terminer notre affaire avant d’arriver !

Je ne sais pas si c’est l’altitude ou la beauté du paysage alentour, mais je garde de cet instant un merveilleux souvenir, malgré nos tenues anti glamour !

32En voiture

Delphine, 38 ans, chef cuisinier à Cannes
C'était un retour de soirée bien arrosée. Je reconduisais un collègue de travail chez lui. Il faut dire qu'il m'avait fait du pied toute la soirée, donc j'aurais dû m'attendre à ce qui allait se passer.

Je me suis garée non loin de chez lui, dans la rue, et une fois que j'ai eu mis le frein à main, il s'est jeté sur moi. J'étais surprise mais très rapidement excitée, parce qu'il m'attirait beaucoup et aussi parce que que nous avions peur d'être vus (enfin surtout moi).

Cela restera sans doute le meilleur coup de ma vie, même si dans ma petite voiture, nous n'avions pas trop de place. J'ai cru que cela avait été très furtif mais j'ai réalisé par la suite que notre partie de jambes en l'air avait quand même duré 45 bonnes minutes ! Je n’ai donc aucun regret, si ce n'est ce bleu sur le genou que j'ai gardé plusieurs semaines. Saleté de frein à main !

A l’aquaboulevard

Julie, 26 ans, assistante sociale à Paris   
On était jeunes. A l’époque, on ne se voyait que le week-end, autant vous dire que c'était le marathon de l'amour ! Un samedi où il faisait très chaud, nous sommes allés à l’Aquaboulevard, à Paris.

Entre deux allers-retours entre les différents espaces, le jacuzzi, le grand bassin et les toboggans, mon compagnon a eu une envie subite. Ses avances se sont faites de plus en plus pressantes. Et j'ai cédé ! Mais pas question de faire ça n'importe où.

En partant, on s'est enfermé dans la cabine pour se rhabiller et là, arriva ce qui arriva. Malheureusement pour nous, un vigile est venu taper à la porte pour nous demander d'arrêter. Imaginez ma tête lorsque j’ai vu un gros balaise grimper sur une chaise, regarder et nous sommer de sortir immédiatement ! J'ai réussi à m'éclipser de l'autre côté, laissant le soin à mon ami de s'expliquer. Au final, le vigile ne lui a même pas fait la leçon : apparemment, il en délogeait une bonne dizaine chaque jour.

Personnellement, j'en ai vraiment voulu à mon compagnon car je n'étais pas vraiment d'accord pour cette galipette. Aujourd'hui, je ne recommencerais pas : en plus de n'être pas confortablement installés, le risque du moment n'en valait pas la chandelle !

29Au cinéma

Anne, 23 ans, étudiante en médecine à Lyon
Nous étions très jeunes. Nous vivions tous les deux chez nos parents, et les opportunités de faire l’amour étaient encore rares. Un samedi après-midi, nous avions décidé d’aller voir un vieux film dans un petit cinéma d’art et d’essai, la salle était quasiment déserte. Nous nous sommes installés au dernier rang.

Le film n’étant pas passionnant, j’ai décidé d’égayer un peu tout ça. Et j’ai commencé à caresser David. Bien sûr, il a été surpris mais ravi ! Puis, de fil en aiguille, nous nous sommes retrouvés à faire l’amour dans cette salle obscure. Nous faisions attention à ne pas faire trop de bruit pour que le son couvre nos ébats. Mais j’étais quand même stressée à l’idée qu’on puisse nous découvrir !

Avec le recul, cela reste un bon souvenir, mais je me rends compte que c’était un plan assez facile. Je ne suis pas du genre à prendre trop de risques !

Sur la plage

Lucie, 35 ans, attachée de presse à Paris   

Nous étions en couple depuis quatre ans. Un été, nous nous sommes offert des vacances en Grèce. Lassés des hordes de touristes, nous avons décidé d’aller dans une petite crique, un peu à l’écart. Nous étions seuls sur cette plage de galets. En revanche, nous faisions face à une autre plage, complètement bondée.

Alors que nous étions assis au bord de l’eau, mon ami s’est montré très entreprenant, et nous avons fini par faire l’amour sur le rivage, en pleine journée, tous deux à moitié immergés. Je me souviens encore des galets qui me rentraient dans les genoux, et des vagues qui nous aspergeaient régulièrement.

J’avoue que je n’en garde pas un souvenir très agréable. J’étais mal installée, et sûre que les touristes de la plage en face avaient une vue imprenable sur nos ébats. Certes, cette expérience a rompu la monotonie de notre couple, mais je ne recommencerais pas pour autant. En tout cas, pas dans de telles conditions !

Dans une chambre bondée

Justine, 26 ans, juriste à Grenoble 
C’était il y a quatre ans. Je ne sais pas ce qui nous est passé par la tête mais nous avons quand même joué avec le feu. Nous avions fait une grosse soirée entre amis, et comme souvent, nous sommes tous restés dormir sur place, car nous avions abusé de l’alcool. Nous nous sommes donc retrouvés à 9 dans une grande chambre, avec des matelas installés par terre.

Mon ami et moi avons eu la chance de récupérer le seul lit qui se trouvait dans la pièce. L’alcool aidant, nous nous sommes laissés aller à quelques discrets préliminaires sous la couverture, alors que nos copains continuaient à discuter entre eux depuis leurs matelas respectifs.

Bien sûr, quand on commence ce genre de jeu dangereux, difficile de s’arrêter en chemin ! Mon ami s’est allongé sur moi, en prenant soin de rester bien caché sous les draps, et nous avons fini par faire l’amour au milieu de nos amis éveillés, lumière allumée, sans qu’aucun d’entre eux ne s’en rende compte. Du moins, je l’espère, car on ne nous a jamais rien dit à ce sujet…

Sous un porche

Hélène, 27 ans, opticienne à Valence
Ensemble depuis un an, c’était l’amour fou. Un samedi, en boîte avec des amis, je n’ai cessé de l’émoustiller toute la soirée, lui proposant de faire l’amour dans les toilettes de la discothèque. Mais ce n’étaient que des paroles en l’air, et par manque de courage, nous ne sommes pas passés à l’acte. En sortant, j’ai continué à le taquiner, me collant à lui, lui faisant des avances que je n’avais pas l’intention d’assumer en pleine rue. Mais lui, semblait me prendre très au sérieux…   

Nous déambulions dans les rues piétonnes pour rejoindre sa moto. Et dans une ruelle un peu à l’écart, Nicolas m’a soudain attirée sous un porche, dans un recoin sombre. Et il a mis en pratique mes propositions indécentes. J’étais complètement scotchée ! Je me suis laissée faire, car même si je n’en avais pas tant envie, je voulais lui laisser un souvenir de moi...

Je n’ai pas pris de plaisir, j’étais très tendue et j’avais hâte que ça se termine. Dès que j’entendais des bruits de talon sur les pavés, je me figeais. Avec le recul, je dirais que c’était une expérience psychologiquement intéressante, mais physiquement médiocre.

En thalasso

Solenn, 25 ans, esthéticienne à Auxerre
J'étais alors en couple. Pour fêter notre 1er anniversaire de rencontre, on s'était offert une journée de thalasso. Mon ami était tout émoustillé par cet environnement d'eau, de massage, etc. Pour lui, c'était très sensuel, et il m'a proposé à plusieurs reprises de le rejoindre, notamment dans le jacuzzi. Refus catégorique de ma part : "C'est dégoûtant, y a des gens qui vont passer après, c'est pas fait pour ça, bla bla bla."

A la fin de la journée, on se retrouve dans les cabines pour échanger notre peignoir contre nos affaires. Je ne sais pas pourquoi, je suis allée dans sa cabine. Il était ravi, mais en fait, moi j'étais très stressée. Je savais que les parois étaient fines, et qu'il y avait beaucoup de passage dans ce large couloir. D'ailleurs, j'entendais les gens qui allaient et venaient, j'avais une pression d'enfer.

Bref, la petite excitation du début a vite disparu et je n’étais pas dedans du tout. Du coup, j'ai eu mal et un "vite, vite, finis bon sang" passait en boucle dans ma tête. En plus, il n’y avait aucune prise pour s'accrocher, si ce n'est la patère... avec le risque qu'en tirant un peu dessus, la paroi s'effondre.

En résumé, c’était vraiment pas terrible et je ne le referai pas... Par contre, dans le jacuzzi, cette fois, je ne dirais pas non !

Publicité
Commentaires
O FEMININ LE BLOG DEDIE AUX FEMMES !!!
Publicité
Derniers commentaires
Publicité